Zusammenfassung
Fernand Papillon (5. Juni 1847 Belfort – 2. Januar 1874 Belfort) studierte Biologie und Medizin, war Mitglied der ‚Société Chimique de Paris‘, diente während des Deutsch-Französischen Kriegs 1870/71 als Adjutant im Sanitätsdienst und veröffentlichte neben chemischen, geologischen und biologischen vor allem philosophische Arbeiten, setzte sich kritisch mit Empirismus und Positivismus auseinander und plädierte für eine Verbindung von Empirie und Metaphysik. Posthum erschien 1876 seine Histoire de la philosophie moderne dans ses rapports avec le développement des sciences de la nature mit einem Kapitel über Goethe („double talent poétique et philosophique“, „la compétence et l’originalité scientifiques“).
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Notes
- 1.
Né à Weimar en 1749, l’année où parurent les premiers volumes de l’Histoire naturelle de Buffon; mort en 1832.
- 2.
Entre nous, dit Goethe, je ne haïssais par les Français. Comment pouvais-je, moi pour qui civilisation et barbarie sont des idées d’une importance exclusive, concevoir de l’antipathie pour une nation qui compte parmi les plus cultivés de l’univers et à qui je devais une si grande part de mon éducation personnelle? (Entretiens de Goethe et d’Eckermann. Traduct. de M. J.-N. Charles. In-18, p. 265) [= Entretiens de Goethe et d’Eckermann. Pensées sur la littérature, les mœurs et les arts, übers. v. J.-N. Charles, Paris 1874].
- 3.
Porchat, t. II, p. 255 [= Johann Wolfgang von Goethe: Œuvres, übers. v. Jacques Porchat, Bd. 2, Paris 1862, S. 255].
- 4.
Riemer, Mittheilungen über Goethe, 1841, t. II, p. 680 [= Friedrich Wilhelm Riemer: Mittheilungen über Goethe, Bd. 2, Berlin 1841, S. 680].
- 5.
Sämtl. Werke, t. XXX, p. 311
- 6.
Œuvres d’histoire naturelle de Goethe, trad. par Martins, 1837, p. 164 [= P. J. F. Turpin, Hg.: Œuvres d’histoire naturelle de Goethe, übers v. Ch. Fr. Martins, Paris 1837, S. 164].
- 7.
Interp. de la nature, aphor. IX [= Denis Diderot: Pensées sur l’interprétation de la nature, Paris 1753].
- 8.
„Il conçoit la nature comme une œuvre d’art parfaitement circonscrite en elle-même, qui doit, à un moment donné, révéler d’elle-même à celui qui la contemple, l’esprit dont elle est animée. Aussi à l’aspect de ce crâne de mouton qu’il trouve sur les sables du Lido, à Venise, et qui lui inspire tout d’un coup la théorie de la transformation des vertèbres pour former le crâne, quelle remarque fait-il? Il s’est senti, dit-il, plus fortifié que jamais dans sa vieille croyance, si souvent confirmée par l’expérience, que la nature n’a point de secret qu’elle ne révèle en quelque endroit aux yeux attentifs de l’observateur. Il exprime encore la même opinion dans son premier dialogue avec Schiller sur la métamorphose des plantes“ (Helmholtz. Goethe, naturaliste et physicien. – Rev, des Cours scient., 11 décembre 1869) [= Hermann von Helmholtz: Goethe naturaliste, in: Revue des Cours scientifiques (1869) (11. déc.) S. 18–25].
- 9.
L'Œuvres d’histoire naturelle de Goethe, trad. par Martins, 1837, p. 15 [= P. J. F. Turpin, Hg.: Œuvres d’histoire naturelle de Goethe, übers v. Ch. Fr. Martins, Paris 1837, S. 15].
- 10.
Interp. de la nature. Aphor. LVI [= Denis Diderot: Pensées sur l’interprétation de la nature, Paris 1753].
- 11.
Entretiens avec Eckermann, trad. de Charles, p. 285 [= wie Anm. 2, S. 285].
- 12.
Martins, Op. cit., p. 312. [= wie Anm. 9, S. 312].
- 13.
Sämtl. Werke, t. XXX, p. 350.
- 14.
Werther. Lettre du 18 août.
- 15.
Œuvres d’histoire naturelle de Goethe, trad. par Martins, 1837 [= wie Anm. 9], – Cf. Diderot p. 11
- 16.
Sämmtl. Werke, t. XXVII, p. 5 à 8; cité par Faivre: Les Œuvres scientifiques de Goethe, p. 397 [= Ernest Faivre: Œuvres scientifiques et esthétiques de Goethe, Paris 1862, p. 397].
- 17.
Fragm. cité par Blaze, dans son Essai sur Goethe; en tête de sa trad. de Faust, 1853, p. 80 [= Henri Blaze: Essai sur Goethe, in: Johann Wolfgang von Goethe: Le Faust, Paris 1853, S. 4–151].
- 18.
Faust, 1re partie: le Jardin de Marthe.
- 19.
Blaze, Essai sur Goethe en tête de sa traduction de Faust, 1853, p. 85 [= wie Anm. 17, S. 85].
- 20.
Littré, ‚Revue des Deux-Mondes, 1er avril 1838 [= Émile Littré: Œuvres d’histoire naturelle, de Goethe, in: Revue des Deux-Mondes 14 (1838) S. 94–110].
- 21.
Voir tout le passage cité plus haut, liv. III, chap. I. Diderot [= Denis Diderot: Pensées sur l’interprétation de la nature, Paris 1753].
- 22.
Interpr. de la nature, § XII [= wie Anm. 21].
- 23.
Trad. et cité par Faivre, Œuv. scient. de Goethe, in-8°, 1862, p. 129. [= wie Anm. 16, S. 129].
- 24.
„Cette doctrine est devenue l’idée mère, le fondement de l’anatomie comparée telle qu’elle existe aujourd’hui. Jamais, depuis Goethe, elle n’a été mieux ni plus clairement exposée que par lui. Depuis, elle n’a subi que peu de changements essentiels, dont le plus important est qu’on n’admet plus aujourd’hui un type commun pour tout le règne animal, mais un pour chacune des principales divisions établies par Cuvier.“ (Helmholtz, loc. cit., p. 18).
- 25.
Œuvres d’histoire naturelle, trad. par Martins, p. 64 [= wie Anm. 9, S. 64].
- 26.
Mémoires de Goethe. Annales, 1805.
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von Engelhardt, D. (2024). Fernand Papillon: Doctrine physiologique leibnizienne de Goethe (1876). In: Goethe als Naturforscher im Urteil der Naturwissenschaft und Medizin des 19. Jahrhunderts. J.B. Metzler, Berlin, Heidelberg. https://doi.org/10.1007/978-3-662-68126-8_36
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DOI: https://doi.org/10.1007/978-3-662-68126-8_36
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Publisher Name: J.B. Metzler, Berlin, Heidelberg
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