Chère consœur, cher confrère,

Les vacances – dont j’espère qu’elles ont apporté un effet de récupération durable à la plupart d’entre nous! – appartiennent déjà au passé. L’automne approche, bien que les températures en journée ne le montrent pas encore.

Après une pause due à la pandémie, j’ai enfin pu entreprendre un voyage à Sri Lanka consacré à l’Ayurveda et consommer un très grand nombre des micronutriments recommandés dans l’article de H. Schurgast dans le cadre de repas ayurvédiens et dans des préparations médicinales à base de plantes. Mais pour savoir exactement quels micronutriments sont le meilleur choix lors de quelles affections gynécologiques, il n’est pas nécessaire de voyager aussi loin. Il suffit de le lire dans l’article en question.

À côté des micronutriments, les hormones jouent également un rôle non négligeable pour la préservation de la santé. Le terme «maladies chroniques non transmissibles (MCNT)» fait généralement penser à toutes sortes de situations, mais pas aux poumons ou aux maladies pulmonaires chroniques, qui font pourtant partie des 5 MCNT les plus importantes. J. M. Wenderlein examine le rôle du THS dans le contexte de la fonction pulmonaire et des pneumopathies.

Je vous recommande tout particulièrement l’article de S. Schulze & M. Arndt sur la «technique de l’entretien motivationnel», illustrée par l’exemple de l’obésité. Je pense que nous sommes tous régulièrement confrontés à des patientes face auxquelles nous nous demandons comment le mieux leur communiquer nos pensées, recommandations et conseils. Là, nous recevons de l’aide.

Et cette aide est extrêmement précieuse, surtout dans des situations paraissant sans issue comme p. ex. l’insuffisance ovarienne prématurée (IOP): C. Anthon & A. Kohl Schwartz éclairent le thème de l’IOP non seulement du point de vue gynécologique et endocrinologique, mais aussi du point de vue de la médecine de la reproduction.

Je vous souhaite une excellente lecture de ce bouquet d’articles variés en fin d’été!

Bien à vous,

Petra Stute